1.2 Lancer et découvrir LibreOffice

LOW – 30/03/2018 – 2

Logiciel et version

Windows 10 ;

LibreOffice 5.3.7  (https://fr.libreoffice.org/) ;

Plan de la fiche

1. Pour lancer LibreOffice

1.1 avec son icône

1.2 avec un document LibreOffice

1.3 avec un document autre, déclaré s’ouvrir avec LibreOffice

2. Découverte de LibreOffice

3. La fenêtre du traitement de texte

3.1 Généralités

3.2 Présentation des fenêtres de paramètres

3.3 Fenêtre principale

3.31 La barre de titre

3.32 Le menu général

3.33 Les barres d’outils

3.34 La zone de texte

3.35 La barre d’état

3.4 Les autres zones

3.41 Le sommaire automatique

3.42 La fenêtre de gestion des styles

Préalables

PRT 1.2 Conventions

PRT 1.3 Procédures

1. Pour lancer LibreOffice

LibreOffice peut se lancer de trois façons, au moins.

1.1 Avec son icône

J’ai installé l’icône LibreOffice dans la barre des tâches (1.1 Installer LibreOffice). Il me suffit de cliquer dessus.

Dans la barre des tâche : ▼ ♥ LibreOffice[LibreOffice] ♥.

1.2 Avec un document LibreOffice

LibreOffice se lance automatiquement quand j’ouvre un document créé avec l’application.

1.3 Avec un document autre, déclaré s’ouvrir avec LibreOffice

Je peux paramétrer Windows pour que, par défaut, certains types de documents s’ouvrent automatiquement avec un module de LibreOffice.

Dans la barres des tâches : ▲ W10 ;

Applications et fonctionnalités ;

<[Paramètres] ‡ Applications et fonctionnalités

Dans la colonne de gauche : ▼ Applications par défaut ;

Sous la liste des applications : ▼ Choisir les applications par défaut par type de fichier ; <[]

Dans la fenêtre, toutes les extensions de fichiers présentes sur mon  système sont listées.

Supposons que je veuille désormais que mes documents.doc (créés avec MS Word) s’ouvrent avec LibreOffice Writer que nous sommes en train d’étudier ;

Je déroule la liste des extensions de fichiers jusqu’à .doc ;

▼ sur le programme indiqué (MS Word) ;

Dans la liste : ▼ LibreOffice Writer ;

Il n’y a pas à confirmer. En cas d’erreur, il faudra paramétrer dans l’autre sens.

La liste se réaffiche à chaque modification et c’est un peu fastidieux. Mais je ne fais pas cette opération tous les jours.

2. Découverte de LibreOffice

En lançant LibreOffice à partir de son icône, LibreOffice me propose une fenêtre affichant à gauche, un menu, et à droite, les derniers documents ouverts. Le menu général est restreint ; il comprend néanmoins l’appel des Options.

À ce stade, LibreOffice ne connaît pas le module que je veux utiliser.

Description du menu de gauche :

Ouvrir un document existant : en cliquant sur ce choix, une fenêtre de sélection d’un fichier s’ouvre dans l’explorateur. Classique.

Fichiers distants : je peux ouvrir directement un fichier sauvegardé sur un cloud.

Fichiers récents ► : la zone à droite du menu affiche les derniers fichiers utilisés (ce nombre est paramétrable) ; en cliquant sur ► en fin de ligne, un sous-menu me propose de vider la liste de ces fichiers. Sinon, pour ouvrir un fichiers récent, il me suffit de cliquer dessus dans la zone de droite. Au survol, une croix en haut à droite s’affiche : en cliquant dessus, le fichier est effacé de la liste (mais il reste présent sur le disque).

Modèles ► : pour appeler un modèle par module LibreOffice ou pour gérer les modèles.

 

Ensuite, le menu propose de créer un nouveau fichier par module installé. La liste mérite attention car sur chaque ligne, elle associe la désignation du fichier et le nom du module. Le choix fait dans cette partie indique le module à utiliser, et la liste nous précise comment nommer le fichier traité : document pour le traitement de texte, classeur pour le tableur, etc.

 

Dans notre démarche de découverte, je vous invite à cliquer sur Créer un document Writer. Après le clic, cette fenêtre s’efface pour laisser l’écran accueillir le module choisi.

3. La fenêtre du traitement de texte

LibreOffice Writer (que j’appelle LOW pour simplifier) utilise un système de fenêtres confortables :

  • une grande fenêtre pour saisir le texte ;
  • deux fenêtres flottantes ou fixes, rétractables, pour le sommaire et pour des fonctions comme les styles.

3.1 Généralités

La présentation des lignes de menu dans LibreOffice respecte un cadre général.

  • Quand un menu déclenche une opération (transformation, appel d’un sous-menu), il est proposé avec un libellé simple, sans « … »  ni ► en bout de ligne.
  • La flèche en bout de ligne (►) appelle un sous-menu.
  • « … » en fin de ligne menu signifie que le menu appelle une fenêtre de paramètres à valider.

3.2 Présentation des fenêtres de paramètres

Les fenêtres de choix à valider ou de paramétrages peuvent comporter un ou plusieurs onglets. Dans la barre des onglets, l’onglet actif est repérable facilement par sa position en premier plan.

Chaque onglet occupe la fenêtre complète. Dans la plupart des cas, il est possible de modifier les dimensions de la fenêtre à volonté. Par convention, je cite les onglets comme ceci : | Onglet |.

Dans un onglet, il peut y avoir plusieurs blocs. Ils ont séparés par un filet horizontal. Un bloc est identifié par un nom, posé en haut à gauche du bloc. Par convention, je cite les blocs comme ceci : ‡ bloc ‡

Les boutons de commandes (OK, Valider, Annuler, etc.) jouent au niveau de la fenêtre. Sauf cas particulier, toujours précisé, je peux passer d’un onglet à l’autre sans avoir à valider la fenêtre et sans perdre mon travail. Car la validation et l’abandon ferme la fenêtre de paramètres.

3.3 Fenêtre principale

C’est la fenêtre qui occupe la majeure partie de l’écran.

3.31 La barre de titre

C’est la barre horizontale supérieure. Elle est identique à toutes les fenêtres du système.

Tout à gauche : l’icône du module LibreOffice ;

À côté de cette icône, le titre du document. Tant qu’il n’a pas été sauvegardé, le document en cours de création est intitulé Sans nom # ;

À la suite du nom du document, le nom du module : LibreOffice Writer ;

De l’autre côté, à droite, les trois icônes classiques de toutes les fenêtres :[Réduire], [Niveau inférieur/Agrandir] et [Fermer]. Sous MacOs ou Linux, ces trois icônes sont à gauche de la barre de titre. Précisions sur ces icônes ici : BPMI 4.31 L’écran et son cinéma, trois icônes

3.32 Le menu général

Cette ligne est sous la barre de titre.

Elle comprend les intitulés des grandes fonctions : Fichier, Édition, Affichage, Insertion, Format, Tableau, Outils, Fenêtre, Aide.

En cliquant sur un de ces titres, le sous-menu est déroulé dessous.

Dans ce sous-menu, en cliquant sur une ligne, soit on active la fonction, soit on ouvre un nouveau sous-menu.

Dans mes procédures, j’indique ce menu avec l’expression : « Dans le menu général : ».

3.33 Les barres d’outils

Sous le menu général, une ou plusieurs lignes proposent des boutons, appelés outils. La présence et l’absence de ces boutons sont totalement paramétrables par l’utilisateur.

Un bouton peut se présenter avec trois états différents :

  • Indisponible : le bouton est en grisé ; son survol donne une indication de sa fonction ; mais on ne peut pas le cliquer.
  • Disponible : le bouton est affiché normalement ; la fonction qui s’affiche au survol est disponible ; elle se lance d’un clic.
    Fonctionnel : le bouton apparaît dans un cadre qui le met en relief ; la fonctionnalité qu’il paramètre est active.

 

Un bouton peut jouer en bascule. Le clic le fait passer de Disponible à Fonctionnel et inversement.

 

Les boutons sont rassemblés par groupes. Quand un groupe est précédé d’un ligne verticale en pointillés, il peut être déplacé, soit ailleurs dans les barres d’outils, soit en fenêtre flottante dans la zone de texte.

L’accroche du déplacement se fait sur cette barre verticale pointillée. De même, une fenêtre flottante en zone de texte peut être ramenée dans la barre d’outils en l’y faisant glisser.

 

Une barre d’outils peut aussi s’afficher sous la zone de texte, au-dessus de la barre d’état.

3.34 La zone de texte

C’est la zone dans laquelle le texte est composé à partir du clavier. En langage technique, on appelle cette zone, une zone d’édition (de edit en anglais qui signifie modifier, traduit par un traducteur neurasthénique ; zone de travail aurait été plus réaliste).

Cette zone dispose, suivant les besoins, des deux ascenseurs (un vertical et un horizontal) qui permettent d’afficher des parties de textes que les dimensions de la fenêtre cachent.

Suivant les paramétrages, cette zone peut comporter aussi des règles verticale et horizontale, des repères matérialisant des marges, les tabulateurs, l’en-tête et le pied-de-page, les notes de bas-de-page. Nous verrons tous ces détails plus loin.

3.35 La barre d’état

C’est la dernière ligne tout en bas de la fenêtre qui comprend plusieurs zones intéressantes. Je les présenterai plus loin en détail. On l’appelle aussi la ligne de contrôle.

3.4 Les autres zones

3.41 Le sommaire automatique

[F5] agit comme une bascule pour afficher ou masquer le sommaire automatique. Il est affiché dans une fenêtre verticale de même hauteur que la zone de texte. Quand je l’appelle, sa fenêtre se présente de la même façon et à la même place que précédemment. Elle peut être collée à la zone de texte, à droite ou à gauche ; dans ce cas, la zone de texte est réduite d’autant. Elle peut être aussi transformée en fenêtre flottante dans la zone de texte ; pour la déplacer, je l’accroche sur sa barre de titre. En la ramenant vers l’extérieur de la fenêtre principale, à droite ou à gauche, elle prend sa forme de fenêtre collée à la zone de texte. Je peux aussi la décoller ou la recoller avec [Ctrl+ Alt+ ▼▼] dans sa zone de titre en dehors des icônes.

3.42 La fenêtre de gestion des styles

[F11] agit comme une bascule pour afficher ou masquer la gestion des styles. Cette fenêtre se présente et se déplace comme celle du sommaire automatique.

Nous reviendrons en détail sur ces fenêtres.

Informations complémentaires

Liens

BPMI 4.31 L’écran et son cinéma

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